mardi 17 septembre 2013

Une véritable amitié ne meurs jamais.


L'autre soir, je pensais a certaines personnes qui me manquaient, que j'avais perdue de vue au fil des années.
Et aujourd'hui j'ai revue l'un d'entre eux, une amie qui a beaucoup compté dans ma vie.
 Elle a été présente durant 2 ans dans toute mon existence.
C'est peu, mais tellement a la fois.
Parce qu'elle a été celle qui m'a fait rire a en pleurer, celle qui m'a écrit des lettres a en avoir mal au poignet, celle qui m'a écouté quand j'étais amoureuse de X, Y et Z
Elle a été celle qui m'a fait aimer mon adolescence.
Et aujourd'hui après 10 ans je l'ai enfin revue.
Je me suis demandé de quoi nous allions parler, si on allait se remémorer le passé ou reprendre une conversation comme si on s'était quitter la veille.
J'ai eu peur de regretter de la revoir au risque d'être déçue que ça ne soit plus une amitié comme avant.
Parce que pendant ces 10 années et bien on ne s'est pas parlé.
Pourquoi ? Je n'en sais rien, quand on rentre dans le monde des adultes on prend des chemins différents, et on remet au lendemain le message ou l'appel.

Mais non, je n'ai pas été déçue. Je suis heureuse parce que j'ai retrouvé l'amie que j'avais laissé des années en arrière, comme si on avait juste appuyer sur pause.
On s'entend toujours aussi bien, on rit toujours autant.
Je l'aime comme avant et on se reverra bientôt.

Une véritable amitié ne meurs jamais.

mardi 10 septembre 2013

Ce jour là...

Il est 9h quand je rentre dans la chambre.
On m'aide a m'installer, on me donne une chemise.
Ces chemises qui vois rendent encore plus malade que vous ne l'êtes déjà.
Sauf que je ne suis pas malade, je ne viens pas pour ça, non.
Je sais que les prochaines heures seront longue alors J. Qui m'accompagne m'apporte un magazine, mais je n'ai pas le cour a lire.
J'ai juste envie que ca se termine.
L'infirmière qui m'apporte mon médicament, m'explique comment ça va se passer, ma tension sera prise toutes les demi heure, et je sortirais a midi.
3h a rester couché et a regarder le plafond.
Je ne me souviens pas avoir échangé une conversation avec J.
Elle est restée près de moi, a regarder la tv, téléphoner ou lire.
Cette matinée est un brouillard aujourd'hui, la seule chose dont je me souviennent c'est le sentiment que j'ai eu, ou plutôt ce grand vide en moi.
Je suis venue ici parce que je l'avais décidé et je n'avais aucune idée des conséquences.

Ce n'est qu'en rentrant chez moi, mes larmes ont coulés toute seule, je ne savais même pas pourquoi je pleurais
Je devrait plutôt être soulagé.
mais j'avais mal, la douleur était déchirante, ça brulait de l'intérieur.

On m'avait retiré une part de moi, et ce jour la plus rien ne serait comme avant.